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 {* Quand sonnent la chasse et la harpe ... (Libre)

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MessageSujet: {* Quand sonnent la chasse et la harpe ... (Libre)   {* Quand sonnent la chasse et la harpe ... (Libre) EmptyVen 15 Aoû - 23:25

    Cette chanson ... Comme une flûte . Ou une harpe peut être ... Le son se faufilait avec agilité par mis les arbres, en passant sous des racines trop hautes, ou des branches trop basses. Le vent était au rendez vous, et la pluie ne tarderait pas a vrai dire. La musique ne cessait-elle jamais ? A en entendre le son continue, qui jamais ne perdait de son ampleur, on se sentait aspiré . La mélopée arrivait même a couvrir le bruit fort du vent dans la cime des arbres et dans les buissons plutôt nombreux . Les nuages formaient un tourbillon au dessus de l'Ancien Château, ne faisait que mettre en évidence les belles formes et le style d'architecture devenu ancien de ce dernier, devenu un élément essentiel a ce paysage, qui en ce jour manquait cruellement de couleurs . Des arbres et encore des arbres ! Le terrain qui autre fois était le jardin, ou peut être même la court est devenu un esclave des plantes rampantes, lierres et lichens . La végétation ronge jours après jours, et petit a petit ce lieu qui autre fois bercerait des âmes inconscientes que des siècles et décennies plus tard serait visité, comme quelque chose de délavé, que l'on a complètement oublié et effacé de ses souvenirs ... Quelque chose devenus ... hanté de danses, de rires, de disputes, et d'un quotidien défunt . La pluie débuta, encouragée par le vent . L’eau commença a ruisseler le long des parois humides, s’incruster dans ce qui autrefois était un mur . Elle ne laissa rien au dépourvu et bientôt, la terre devint une simple et gigantesque flaque de boue, une flaque de boue qui formait un périmètre autour de l’ancienne battisse . Les rideaux qui poussaient a l’extérieur se trempaient a en devenir aussi lourd que de la pierre et se collèrent aux parois rocheuses . Imaginez un lieux vide, qui jadis accueillez des dizaines de personnes ? Personnel se pressant de satisfaire leurs maîtres, et chaque membre de la famille qui vaquent a ses occupations . Quand on regarde de près tout ces rats qui cavalent a travers les couloirs, pour grignoter et ronger les tapisseries de pièces en pièces, c’est une image réjouissante que l’on ne peut se faire …

    Mlle de Puiset fut prise au dépourvu . tout d’abord envoûtée par la douce musique, et ensuite par la pluie qui en un bruit de tonn8nerre se déclencha . Elle rajusta la cape noire qu’elle portait, en posant le capuchon sur ses cheveux déjà humides et se mit a courir a travers le jardin, entre arbres fruitiers morts . C’est un endroit assez morbide si l’on regarde de près, mais de très loin, c’est parfaitement vivable ! Dioxie plaqua ses mains trempées sur la porte de bois massive, inutile de saisir la poignée de bronze et de taper le bois avec … Elle l’ouvrit aussi rapidement que possible et entrebâilla la porte au lieu de la fermer . Son arc pendait toujours dans son dos, elle était venue dans l’unique but d’un entraînement, et puis si elle le pouvait ramener un plus gros gibier que la dernière fois au château des Puiset . Elle se colla contre le versant de la porte, a respiration quelque peu saccadée par sa course . Le temps de reprendrais son souffle elle détailla l’entrée . Une grande pièce recouverte d’un tapis pourpre poussiéreux et humides, rongé par les rats . Elle monta l’escalier qui permettait d’accéder au premier étage . La jeune femme voulut se tenir a la rambarde mais celle-ci n’était plus que de vieille planche de bois moisies . Elle retient un juron est saisit une pente de sa robe pour monter plus facilement . La demoiselle arriva devant une porte, sans hésiter elle l’ouvrit, sa curiosité piquée a vif il lui était impossible de reculer . La porte donnait sur une minuscule pièce : Des murs recouvert du tapisserie représentant les sept péchés capitaux, un siège parfaitement conservé et une petite table en bois, dont sur les quatre pieds n’en restait plus que deux et demi . La pluie était devenue de petits glaçons, et martelaient avec insistance les vitres très fragilisées mais malgré tout encore entière . Il ne manquait plus que des vandales pour les casser ! Les seules vitres entière du château ! Elle y entra sans scrupule et colla ses paumes contres les carreaux de la vitre : ils étaient gelés . Elle n’y prit pas garde, elle attendrait patiemment que la pluie se calme pour rentrer . Elle posa ses coudes contre le rebord et se laissa rapidement divaguer par ses songes …
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