Naïlhann d'Elewiren
Age : 31 Date d'inscription : 07/01/2010 Nombre de messages : 23 Pseudo (PUF) : milie
FEUILLE DE PERSONNAGE Relations/bloc-notes: Points d'Excellence: (0/0) Écus: (5000/1000000)
| Sujet: Naïlhann d'Elewiren - Mon devoir : protéger mon royaume ... ou mourir en ayant tenter de le faire - Ven 8 Jan - 16:51 | |
| DERRIÈRE L'ÉCRAN
P.U.F (pseudo utilisé sur un forum): Milie PRÉNOM: Emilie ( c'était dur, vu mon pseudo ... ) ÂGE : 16 ans COMMENT AS-TU DÉCOUVERT LE FORUM? Sur un forum de pub => coin pub QU'EN PENSES-TU? Je le trouve super, c'est exactement le type de forum que je cherchais ( et pour chercher, j'ai chercher lol ). En tout cas, félicitation aux admins pour le travail qu'ils ont fournit, c'est formidable, bravo. TON ACTIVITÉ? (en nombres de jours /7) Ça dépendra. Disons, 2/7ou 3/7maxi en période scolaire et 5/7 pendant les vacances. Mais ce sera peut être plus, j'ai du mal à me retenir d'aller répondre aux rp, même si je suis pas censée le faire ... AUTRE CHOSE A DIRE?Je pense avoir tout dis. Si quelque chose me vient à l'esprit, je vous en ferez part, promis !
TON PERSONNAGE
GÉNÉRALITÉS PRÉNOM:Naïlhann NOM DE FAMILLE (ou titre si c'est un noble): D'Elewiren SEXE: féminin AGE: 19 ans ESPÈCE (humain, elfe, nain,...): moitié elfe sylvain (ma mère) et moitié humaine (mon père). Curieux mélange ? Peut être, mais je ne m'en fâche pas, bien au contraire. MÉTIER EXERCÉ: Reine CLASSE SOCIALE: ReineROYAUME: Elewiren ANIMAUX (oui/non si oui faire une petite description): Je ne dirais pas que je « possède » un animal. Disons que Maïka me fait la grande faveur de m'accompagner à chaque minute de ma vie. Il s'agit d'une louve aussi blanche et douce que la neige. Ses yeux brillent d'un éclat dorée. Étrangement, j'arrive à y lire une intelligence peu commune chez un animal. Mais peut être est ce à cause de ce lien mental qui nous unit. Bien sur, malgré les regards soucieux que je croise sur mon passage chaque fois qu'elle m'accompagne à l'extérieur du château, je sais que jamais elle ne fera de mal à qui que ce se soit. Sauf si je lui en donne l'ordre. Mais je sais que, tout comme moi, elle préfère ne pas en venir à un combat sanglant. En fait, nous sommes assez semblables. Toutes deux aussi têtues, aussi persévérantes et fières. Elle possède tout de même un don que je n'ai pas, celui de rassurer les gens. Moi, bien sur, elle peux le faire en utilisant notre lien. Mais elle m'a déjà prouvé qu'elle arrivait à calmer n'importe qui par sa seule présence.
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FICHE DÉTAILLÉE POUVOIR MAGIQUE / PARTICULARITÉ (n'exagérez pas): Ayant vécu pendant 14 ans dans un village elfique, j'ai pu y apprendre quelques pratiques magiques. Les capacité magiques de la faune et de la flore de la foret n'ont plus aucun secret pour moi. Je sais préparer de nombreuses potions curatives plutôt utiles ainsi qu'un certains nombres de poisons. Il ne s'agit pas vraiment de magie à l'état pur, mais plutôt d'une connaissance sans faille des dangers et des avantages que nous offre la terre. A ceci s'ajoute un don inexplicable. Peut être est ce le mélange de deux sangs différents. J'ai acquis, très tôt, le pouvoir de dialoguer mentalement avec Maïka. Ce don m'a beaucoup servit. C'est ce qui m'a permis de tromper la solitude pendant toutes ces années. C e dialogue n'est pas fait de mots ou de phrases, mais d'images qu'elle m'envoie. DESCRIPTION PHYSIQUE: La première personne que l'on voit, lorsqu'on me regarde, c'est Naïlhann, elfe sylvain, habitante de la foret. Le premier signe qui ne peux tromper personne, ce sont mes oreilles. Comme tous les elfes, elles sont pointues, et d'une taille qui impressionnerait n'importe quel humain ignorant l'existence de mon peuple. Je suis plutôt grande ... pour une humaine. Selon les critères elfiques, je suis dans la moyenne. Pourtant, si on y regarde de plus près, on voit clairement que je ne suis pas vraiment comme eux. Que je suis différente. Que je suis, en partie, humaine. D'abord, ma peau reste d'une blancheur morbide. Je n'ai pas ce teint cuivré. Non, je suis comme un fantôme, comme un spectre au milieu des vivants. Et puis, il y a mes yeux. Les elfes ont des yeux colorés, doré ou vert. Moi ... il a fallut que j'ai les yeux gris. Gris. C'est si fade, si triste. Je hais mes yeux.
DESCRIPTION PSYCHOLOGIQUE: Lorsqu'il m'a fallut affronter la réalité de plein fouet et prendre les rênes d'un royaume menacé, j'ai du me forger un caractère de reine. Alors, l'enfant insouciante à laissé place à la femme responsable. Le plus dur à été de me faire accepter en tant que reine. De l'elfe que j'étais avant, j'ai gardé une grande générosité et une envie perpétuelle d'aider les autres. Malheureusement, j'ai aussi gardé un esprit rêveur. J'ai besoin de me détacher de la réalité quelques instants, pour oublier que je ne suis peur être pas à la hauteur. Et, le plus handicapant, j'ai gardé un manque d'assurance qui me détruit chaque jour. Chaque discours me fais mourir sur place et chaque rencontre avec un noble m'impressionne beaucoup plus que nécessaire. Mais, depuis mon arrivé au château, j'ai acquis une grande fierté qui m'a beaucoup aidé. Je n'ai plus peur de relever les défis. Malgré certains moment de défaitisme pendant lesquels je me sens beaucoup trop faible et trop frêle pour porter l'avenir d'un peuple sur mes épaules, je reste prête à affronter la vie et les épreuves qu'elle m'apportera. Et puis, cette guerre entre royaume, j'en ai fait depuis longtemps une affaire personnelle. J'ai la mort de ma mère à venger, et je compte bien atteindre mon objectif d'une manière ou d'une autre. Enfin, malgré mon manque de confiance en moi, je parviens à garder chacun de mes sentiments pour moi. Je suis devenue un vrai roc, qui souffre en silence. Alors, bien sur, je suis affreusement terrifiée lorsque je dois négocier avec un homme impressionnant, mais, au lieu de me recroqueviller sur place, je sors mon masque et je garde le visage impassible d'une reine. FAMILLE / ENTOURAGE: Bien sur, dans un château royal, on n'est jamais seul, pourtant, je me sens plus isolée que jamais. Je n'avais jamais eu d'amis, mais, avant, je vivais parmi les animaux sauvages. Et j'avais une mère. Aujourd'hui, je n'ai plus que Maïka avec qui partager mes émotions. Bien sur, je peux communiquer avec elle et j'en profite. Je lui dis tout. Mais, c'est tellement différent d'une amitié sincère avec un elfe ou un humain. Avec un être d'intelligence et de sentiments. Mes deux parents sont morts. Ma mère, assassinée par des soldats du royaume d'Abiradith. Mon père, mort de maladie. Dans le château, la personne la plus proche de moi est sans doute Alexandre, ancien conseiller de mon père, il a régner deux ans après la mort du roi avant de ma laisser la place. Aujourd'hui, il est mon plus fidèle conseiller.
HISTOIRE: Mon histoire ? Elle commence avant, bien avant ma naissance. Ce jour là, un meurtre avait été commis. Cinq chevaliers avaient été envoyés dans la foret de Doirstiel sris. Ils devaient aller prévenir les villages d'elfes qui y vivaient que de nombreux humains traverseraient sans doute leur foret dans les jours à venir. Un grand banquet avait été organisé, pour célébrer l'anniversaire de sa majesté, le Roi Théobald V. Mais voila, le voyage tourna au drame. Les chevaliers ne furent pas bien reçus du tout. Lorsqu'ils rentrèrent, ils étaient deux à avoir été tués et deux autres étaient gravement blessés. Ils étaient à peine entrés dans la ville que déjà, toute la population semblait au courant. Le temps qu'ils atteignent le château, des rumeurs sans aucun fondement s'étaient mises à circuler sur leur passage. Arrivés aux château, on fit soigner les deux blessés et le dernier chevalier, celui qui avait eu la chance d'en sortir indemne, raconta au roi en personne l'attaque dont ils avaient été victime. Ils étaient presque arrivés au premier village elfique, Naïdern, quand ils avaient été surpris par un groupe de ces êtres des bois. Les elfes, menaçants, leurs avaient demandé de faire demi-tour. Alors, tandis que les chevaliers tentaient de discuter, de leur expliquer, ils avaient fondus sur eux. Des archers cachés dans les arbres avaient décochés leurs flèches pendant que les elfes à terre les avaient frappés à coups d'épée. Très vite, les chevaliers avaient du faire demi tour, acculés par le nombre d'assaillants. Il s'avéra que les elfes impliqués avaient tous disparut. Le roi procéda à l'arrestation de la femme de l'un d'entre eux. Celui qui semblait en être le chef. Il passa des jours et des nuits à tenter de lui soutirer des informations. Très vite, il comprit qu'elle préférerait mourir plutôt que trahir son mari. Néanmoins, il continua à l'interroger sans relâche. Elle ne parla jamais. Et puis, au fil des jours, la volonté de cette elfe, son orgueil et son courage lui firent oublier qu'elle était sa prisonnière, qu'elle était une elfe et qu'elle était loin d'être noble. Il en tomba éperdument amoureux. Elle se prénommait Sïlihel. Personne ne sut que le roi avait eu une aventure avec une de ses prisonnières. Personne ne sut qu'il la relâcha, par honte de lui même. Personne ne sut qu'elle eu une fille.
Cette partie de mon histoire, je l'ai ignorée pendant des années, pendant trop d'année. Jusqu'à ce jour. Comme d'habitude, j'étais assise à l'écart des autres. Ma seule compagnie était, depuis bien longtemps Maïka. Les autres me trouvaient trop étrange pour m'accepter parmi eux. Normal, lorsque vous avez les yeux gris et la peau aussi claire que la neige qui recouvrait le sol. Et puis, je n'avais pas exactement les mêmes centres d'intérêts qu'eux. J'aimais passer des heures devant la rivières, à écouter le murmure de poissons et la mélodie des oiseaux. Le chant de la nature me berçait, m'enlevait à ce monde qui me semblait trop fade pour moi. Je rêvais d'aventures. Pas sérieusement, soit, ce n'étais que des histoires que j'aimais m'inventer aux fil du temps. Jamais je n'aurais imaginé que ces aventures deviendraient réalité. Et pourtant ... Ce jour là, un groupe de chevaliers vinrent dans notre petit village. Je n'en avait jamais vu. Ma mère disait qu'ils n'étaient pas revenu depuis qu'ils avaient été chassé par certains d'entre nous. Intriguée et emportée par ma nature curieuse, je m'approchais, histoire de les voir de plus près. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je les entendis déclarer qu'il me cherchai, moi, fille de Sïlihel Standhël, ainsi que ma mère. Ils m'expliquèrent rapidement que le roi était en train de mourir et qu'il souhaitait me voir. Moi. Pourquoi ? Je n'étais qu'une enfant de 14 ans. Une elfe sans aucun intérêt. Je n'eus pas le temps de discuter, ils me demandèrent de les suivre sur le champs. Ils déclarèrent la même chose à ma mère. Étrangement, elle devint livide. Avait elle peur ? Je ne voulais pas m'entraîner dans quoi que se soit qui puisse la mettre en danger. Pourtant la menace de leurs épées finit par me décider. Ma mère et moi partirent sur les chemins forestiers qui menaient à la capitale, accompagnées de notre escorte de chevaliers. Tout aurait pu très bien se passer, si, au détour d'un virage, nous n'avions été pris en embuscade. Des soldats d'Abiradith nous attaquèrent. On m'ordonna de fuir, de galoper jusqu'au château sans m'arrêter. On m'ordonna de m'en aller. Mais je ne put pas, je restais pétrifiée par ce que je voyais. Ma mère, tombant de son cheval, la poitrine luisante de sang, dernière marque qu'avait laisser l'épée du soldat sur son corps. Le monde s'écroula autour de moi, et, sans Maïka, j'aurais sans doute courut la rejoindre, me faisant tuer au passage. Mais la louve réussit à me retenir. Et, voyant le regard d'un des assassins se tourner vers moi, une lueur meurtrière faisant briller ses prunelles sombres, je fis faire demi tour à mon cheval, m'enfonçant dans la foret. Mais l'homme ne l'entendait pas de cette oreille, il me poursuivit, laissant à ses compagnons le soin de réduire en bouillie les pauvres chevaliers. Je lançai le cheval à son maximum, le contrôlant sans difficultés parmi la foret que je connaissais comme ma poche. Pourtant, j'entendais le souffle de l'autre cheval, celui du soldat, se rapprocher de plus en plus. Bientôt, il serait sur moi. Je tentai de me préparer mentalement à un tel affrontement. Mais je ne voyais pas où étaient mes chances. Je ne voyais pas comment je pourrais vaincre au corps à corps un soldat expérimenté avec mon seul poignard. Je captais une pensée de Maïka : Une vielle louve se sacrifiant pour laisser un passage à son amie dans la foret menaçante Et elle se retourna, toutes griffes dehors, prête à affronter la menace sans trembler. Je m'arrêtai instinctivement, je ne pouvais pas la laisser faire une chose pareille, je ne voulais pas la perdre. Elle m'envoya une autre image mentale : un loup fuyant parmi les arbres. J'hésitai une fraction de seconde, puis, je fis volte face. Il était hors de question que je l'abandonne là. J'allai l'aider. À quelques mètres, je trouvais un arbre assez dégagés d'où je pourrais me rendre utile. En deux temps, trois mouvements, j'escaladai les branches. J'observai la scène qui se déroulais devant mes yeux; Maïka était blessée, mais l'homme n'en menait pas large non plus. Il ne semblait pas avoir l'habitude de combattre un tel animal. Je sortis mon arc et Je visai en jaugeant rapidement la vitesse et la direction du vent, les obstacles éventuels. Et je tirai. L'homme s'étala à terre, mort. Je descendis de l'arbre pendant que Maïka me rejoignait, des images reconnaissante mélangée à un mécontentement non négligeable. Je ne l'avais pas écouté. Nous finîmes le voyage ensemble, nous déplaçâmes le plus vite possible malgré la fatigue et la douleur qui me rongeai le coeur. J'avais perdue ma mère. Jamais plus je ne la reverrais, j'étais seule désormais pour affronter la vie qui s'étalait devant moi, tel un chemin sinueux au milieu d'un foret sombre. Enfin, nous atteignîmes le château. Aussitôt, je fus envoyée dans la chambre du roi. Il me raconta tout. Il me raconta sa rencontre avec ma mère, il me raconta leur amour indescriptible, et il termina en me disant que désormais, je devais reprendre le flambeau. Il mourut quelques heures après ces révélations. Voilà comment Naïlhann Standhël devint La reine Naïlhann d'Elewiren. Pendant deux ans, ce fut le conseiller de mon père, Alexandre, un jeune homme, fils de l'ancien conseiller royal, mort quelques mois plus tôt, qui régna à ma place, me laissant le temps de m'habituer à la vie royale. Je fut initiée à la science politique, à la diplomatie et à des tonnes d'autres choses. Le plus dur fut de prendre l'habitude de me faire appeler « votre altesse ». Imaginez, quelques jours plus tôt, les elfes de mon age m'insultaient sans grande retenue. Aujourd'hui, j'étais aimée et idolâtrée par tous les habitant du château. La seule chose qui me permis de tenir, de continuer mes efforts et d'atteindre le trône, fut l'envie désespérée de venger ma mère, de retrouver les soldats qui l'avaient tués et de leur faire payer. Et, à l'occasion, j'en profiterais pour détruire le roi d'Abiradith. C'est ce qu'ils attendent de moi, tous. Mon devoir est d'y arriver, ou alors, de mourir en ayant essayé. À l'age de 1'âge de 16 ans, je devins officiellement la reine d'Elewiren. Le peuple semblait sceptique. Une elfe qu'ils n'avaient jamais vu allait les gouverner ... J'avais des preuves à faire. Ma première épreuve fut la cérémonie de couronnement. Je crois que je réussis, à ce moment, à convaincre la plupart du royaume. Je l'espérais au plus profond de moi. Cela fait maintenant trois ans que je règne, aidée dans chacune de mes tâche par Alexandre et un grand nombre d'autres personnes dévouées. Je pense avoir réussie à m'habituer. Je pense réussir à vous donner confiance. Je pense avoir finalement trouver ma place dans ce monde. | |
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